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Publication : Le CAE publie une seconde étude sur la Valeur de l'Architecture. 

Cette étude a été commandée par le Conseil des Architectes d'Europe (CAE) et cofinancée par le Programme Europe Créative de l'Union européenne, dans le but de soutenir le développement de la recherche dans les bureaux d'architecture à travers l'Europe. Ceci passe par le développement d'outils appropriés pour documenter et évaluer les différentes façons de créer de la valeur. Cela permettra aux architectes de démontrer la valeur de leur travail, de diversifier leurs services et de devenir plus résilients, quelle que soit la taille de leur bureau ou le secteur dans lequel ils évoluent.

 

Les architectes résolvent de manière créative, inclusive et innovante des problèmes complexes liés à l’environnement bâti. Ils sont bien placés pour aider à relever certains  défis auxquels le monde est confronté aujourd’hui, notamment l’urgence liée au changement climatique et les conséquences de la COVID 19. Pourtant, les architectes ne se considèrent généralement pas comme des chercheurs et sont souvent exclus des débats sur la recherche, du financement de la recherche et de l’innovation. De plus, les architectes son confrontés à un défi de communication dans la mesure où ils doivent expliquer de manière compréhensible la valeur de leur travail aux décideurs, en particulier ceux qui financent les projets, mais aussi au grand public. Dès lors, l’accent doit être mis sur les preuves de la valeur qui est créée par l’architecture, en complément des visuels et histoires que les architectes savent déjà raconter.

 

Cette étude a été réalisée par Rowena Hay, Flora Samuel et Lorraine Farrelly*.


"La valeur de l'architecture II" montre l'importance de la recherche pour mettre en évidence les performances environnementales, sociales, culturelles et économiques dans l'environnement bâti. Cette publication rassemble un ensemble d'études de cas inspirantes provenant de bureaux de toutes tailles à travers l'Europe qui ont adopté des méthodes de recherche souvent très simples mieux comprendre les performances de leurs projets une fois qu’ils sont utilisés. J'espère que les architectes et les maîtres d'ouvrage s'inspireront de ces études de cas et qu'ils verront l'avantage d'utiliser la recherche pour comprendre l'impact et la valeur des projets qu'ils réalisent." Rowena Hay, responsable de la recherche et de l'évaluation chez Shortwork.

 

"L'évaluation post occupation (EPO) est la clé d'une compréhension holistique de l'interaction humaine avec l'environnement bâti et la nature. À l'ère digitale, l'approche numérique sera essentielle pour l'architecture de demain." Ruth Schagemann, Membre du Bureau Exécutif du CAE.

 

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Version mise à jour, mai 2021.

 

Le rapport se compose de quatre parties.

  • La première partie décrit le contexte et la méthodologie du rapport;
  • La deuxième partie consiste en un bilan contextuel de la recherche dans l’exercice de l'architecture, basé sur des entretiens avec des experts de toute l’Europe et une recherche documentaire (ouvrages académiques et documentation provenant de l'industrie);
  • La troisième partie se concentre sur l’impact du retour d’information dans le processus de conception et dans le projet lui-même par le biais de l’évaluation post-occupation, et sur la manière dont ce retour d’information peut être utilisé pour démontrer la valeur du processus de conception. La troisième partie présente une série de huit études de cas, qui soulignent le rôle clé du retour d’expérience dans le développement des connaissances basées sur la pratique, ainsi que dans la mise en évidence et la communication de la valeur des services architecturaux;
  • La quatrième partie contient le résumé des recommandations adressées aux architectes, aux décideurs politiques, aux clients, aux universités et au monde académique.


Co-financé par le Programme Europe Créative de l’Union européenne. L’aide de la Commission européenne en vue de la production de la présente publication n’implique nullement qu’elle en ratifie le contenu, qui ne reflète que l’opinion des seuls auteurs. La Commission ne peut être tenue responsable de poursuites éventuelles par rapport à des informations qu’elle contient.



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